Sept minutes chez nous
Un film qui vous donnera d'entrer... un peu (7 minutes !) parmi nous...
La vie coule vite au Carmel, comme un source... cette Source cristaline que chante St Jean de la Croix...
Auprès d'elle, la vie jaillit...
Carmel de Bayonne
Un film qui vous donnera d'entrer... un peu (7 minutes !) parmi nous...
La vie coule vite au Carmel, comme un source... cette Source cristaline que chante St Jean de la Croix...
Auprès d'elle, la vie jaillit...
Carmel de Bayonne
Bonjour Sœur Marie-Edith !
Juste quelques questions à vous poser pour le site vie monastique !
Vous êtes carmélite : cela n'est-il pas difficile de s'enfermer pour toute une vie dans le même endroit ?
Mais ce n'est jamais le même endroit ! La maison, le jardin, les oiseaux, l'atmosphère, la liturgie...changent avec les saisons, les fêtes, les événements, les rencontres au parloir, et même le travail !
Carmel de Verdun
Avant l’âge de 18 ans jamais je n’avais envisagé le chemin de la vie religieuse, je désirais avoir une profession au service des autres, me marier et bien sûr avoir des enfants. Et puis les choses ont pris un autre cours…
Je suis née dans une famille pratiquante plus par tradition que par véritable foi vivante et arrivée à l’adolescence, j’ai laissé tout tomber… En gardant cependant, dans le fond, une certaine foi en Dieu, avec des interrogations, une quête... Mais Dieu restait pour moi un Etre lointain, qui ne changeait pas grand chose à ma vie : Lui devait me chercher sûrement plus que je ne Le cherchais… Et puis ce fut la rencontre, en ma 18ème année justement, au cœur de la plus sombre période
Abbaye Notre-Dame de Lérins
Le 16 janvier 2013, en la fête de saint Honorat, le frère Gianni a reçu l'habit des novices. Avec le sourire, il commence un chemin de vie monastique avec les frères de l'Abbaye de Lérins. Première étape de deux ans au terme de laquelle il pourra prononcer un premier engagement.
Abbaye de la Coudre
Dans mon enfance, j’ai été marquée par le mouvement MEJ avec Feu Nouveau. Mais c’est à l’âge de 14 ans que, pour la première fois, est venu en moi la question de la vie religieuse. J’avais alors été prise de panique ! Après deux années loin de l’Eglise, une expérience spirituelle forte, vécue lors d’un rassemblement avec Jeunesse Lumière et Daniel Ange, a été décisive : Dieu est amour ! Cette révélation ouvrait des perspectives nouvelles pour mon avenir avec l’intime conviction : « je serai religieuse ». J’avais alors 19 ans.
Abbaye de la Coudre
Je viens d’un milieu rural, catholique pratiquant. Mes parents étaient en ferme. Enfant, j’aimais aller à l’église de mon village ; je disais alors que je voulais être « sœur » quand je serai grande. Mais à l’adolescence je n’en parlais plus !
J’ai travaillé tôt, comme aide-soignante, pendant plusieurs années. C’est vers 18-19 ans que j’ai commencé à fréquenter un groupe de prière, et dès la première rencontre, l’appel à suivre Jésus dans la vie religieuse s’est réveillé en moi. Si je n’y ai pas mis de résistance, je n’étais pas non plus pressée d’y répondre, voulant « profiter » de ma jeunesse en faisant des expériences diverses (voyages, et surtout rencontres avec des ami(e)s). La question du mariage s’est évidemment
Abbaye de la Coudre
Issue d’une famille catholique où seule ma mère pratique, j’ai été élevée chrétiennement (caté, école catho.). J’accompagnais quelquefois ma mère à la messe. A 16 ans, une grande joie intérieure m’a emplie lorsque j’ai ressenti l’appel à me consacrer entièrement à Dieu. A partir de ce moment, j’allais le plus souvent possible à la messe et priais chaque jour l’office, la prière de l’Eglise. Depuis cet instant, tout en poursuivant mes études de paléontologie qui me passionnaient, j’ai commencé à cheminer avec un ami de mes parents, moine.
Abbaye de la Coudre
Etant issue d’une famille chrétienne, enfant, je participais à des groupes de prière, pélé… et j’aimais ça ! A l’âge de douze ans, la question de la vocation me travaillait, mais très vite, je l’ai mise de côté ! A l’adolescence, j’étais intéressée par toutes les questions sur le sens de la vie, l’homme, le bonheur… c’est ainsi qu’après le bac, je me suis passionnée par mes études de philo. La philo a réveillé en moi une soif d’absolu : celle d’aimer Dieu et les hommes. Les sorties, les amis, tout ce qui avant m’attirait, ne parvenaient pas à étancher cette soif. Inévitablement, la question de la vocation à la vie religieuse est revenue, mais je résistais.
Abbaye de la Coudre
Je viens d’une famille chrétienne non pratiquante...
en milieu rural, où j’ai appris l’hospitalité dans la vie quotidienne. C’est à ma grand-mère que j’ai exprimé ce désir : « Je serai sœur ». Je n’avais alors que 6 ans. Enfant, ma joie était de « servir » la messe ; et, à ma Profession de foi, est remonté en moi ce désir d’être « toute à Dieu ». L’Eglise devenait pour moi ma nouvelle famille. A 21 ans, alors que je me trouvais dans une abbaye, j’ai eu ce flash en voyant les moines : « C’est cela que je veux vivre ! » Et ce désir ne m’a jamais quittée.
Carmel de Nevers
Dimanche 13 janvier 2013, j’ai fait profession solennelle dans l’Ordre du Carmel…
Je me suis engagée pour toujours à la suite du Christ sur un chemin d’amour, de fidélité et de confiance au sein de la communauté du Carmel de Nevers. Mais la décision de cet engagement n’est pas tombée du ciel, elle se situe dans une continuité et c’est parce que j’ai déjà expérimenté l’amour et la fidélité de Dieu envers moi que je peux donner une réponse à son appel.
Abbaye Notre-Dame de Venière
Toute personne, je pense, s'interroge sur le sens de la vie.
Dans mon expérience, cette question s'est posée dès mon enfance. L'accompagnement chrétien qui a marqué mon enfance apportait des réponses à ses interrogations fondamentales. Mais dans mon adolescence, j'ai rejeté les valeurs religieuses et nié l'existence de Dieu.
Abbaye Notre-Dame de Venière
L'adolescence est une bonne période pour découvrir l'Absolu...
C'est donc à 14 ou à 15 ans que j'ai découvert ce Monastère de Venière et après une discussion solide avec une des sœurs (pendant 2 h !) sur le sens (que je croyais nul) de leur vie, j'ai décidé de revenir pour connaître cette Sœur atypique selon mes critères d'alors.
Peu à peu, je sentis qu'un Autre m'attirait, comme un petit aimant attire l'aiguille et qu'ici, j'allais apprendre à plus aimer, à avoir un cœur plus universel... Je suis donc entrée au Monastère bien des années après et ne l'ai pas regretté une demi seconde !
Abbaye de Maumont
Un regard de l'extérieur sur notre vie.
En 2011, trois journalistes de France 2 ont rencontré les soeurs pendant une semaine ; ce fut une aventure des deux côtés, une découverte pour eux comme pour nous. Jennifer a posé ses propres questions. Elle ne connaissait pas la vie monastique.
Si tu veux voir le résultat de cette visite, le film t'attend ci dessous (durée 36 min)
Abbaye Notre-Dame de Cîteaux
Témoignage de Micky
Je viens souvent à l'abbaye de Citeaux, non pas pour le stage "Aventuriers du bonheur" mais pour me ressourcer dans le calme et dans la prière. C'est un lieu où je me sens en paix grâce à la nature, au calme, à la simplicité de la vie des frères, à la prière et à quelques coins de la maison où j'aime beaucoup aller (l'oratoire, la bibliothèque).
Bernardines d'Esquermes
Témoignage de Pauline
Je ne sais pas vraiment comment, je me suis retrouvée lancée pour 5 jours de « plongée monastique »... l’envie de connaître de l’intérieur, par moi-même, l’enchainement d’évènements…drôle de manière de passer une partie de ses congés annuels, dont le nombre de jours est si précieux !…je pousse la porte de ce monastère avec des questions sur cette vie de moniale…et aussi avec la tête encore au boulot.
Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Seul garçon d’une famille de cinq enfants...
mes parents se sont toujours efforcés de me donner une saine éducation chrétienne.
Tout jeune, j’eus la grâce d’assister aux débuts de la communauté traditionnelle à Colmar, grandissant sous son ombre et m’investissant peu à peu comme servant de messe puis dans le scoutisme. Par le service de l’autel, je fus plongé au cœur de la liturgie, cette action divine qui fait descendre un peu de Ciel sur la terre, et j’ai alors ressenti une très vive attirance pour le sacré. Par le scoutisme, j’ai appris le don et le dépassement de soi ainsi que l’esprit d’équipe qui
Clarisses de Senlis
Pourquoi es-tu entrée ?
Ecoute cette histoire : un rabbin qui passait dans la rue.
Son voisin venait d'ouvrir un très bel atelier de forgeron.
Il entra et le félicita,
mais il lui dit :
il te manque encore une chose : l'étincelle !
Sainte Claire a choisi l'étincelle.
Aidée par Saint François (dans l'Italie du XIII°siècle),
elle s'attacha de façon radicale à une seule richesse :
l'amour de Jésus-Christ.
Clarisses de Senlis
Qu'est-ce qu'aimer ?
Cela ne se dit pas, cela se vit avec la grâce de Dieu.
Tout donner, ne rien garder pour soi. Être disponible à chaque instant.
Plus tu seras humain, plus tu seras spirituel.
C'est un don de Dieu, à condition d'être ouvert pour le recevoir.
(jeudi 20 mai 2004)
Soeur Clotilde
12.04.1922 - 20.07.2012
Abbaye de Maumont
"Veux-tu, par la profession monastique, t’unir à Dieu plus intimement et pour toujours ?
Oui, je le veux.
Les années ont beau passé, je constate que cette question ne vieillit pas. Elle garde sa jeunesse dans la trame du quotidien ; les évènements joyeux et éprouvants ne la flétrissent pas, bien au contraire !
Monastère de l'Annonciade
A la genèse de l'Annonciade, il y a une rencontre entre la Vierge Marie et Sainte Jeanne de France, fille de Louis XI, aidée du Père Gabiel Maria franciscain. Voilà comment Jeanne relate cet évènement fondateur :
"Alors que je n'avais que cinq ans, un jour, comme j'étais a la messe, devant le crucifix, une chose vint me frapper en mon cœur et me dit : Avant ta mort, tu fonderas une religion de la Vierge Marie et ce faisant tu me feras un grand plaisir et un honneur à la très digne Mère de Dieu. » Depuis cette heure-la, mon désir n'a fait qu'augmenter et j’ai promis a
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