Les distances sanitaires s'apparentent à des gestes salutaires !
6° dimanche T. O. B
Mc. 1, 40-45
La distanciation ne vient pas de naître avec la pandémie que nous connaissons, difficile à vivre pour beaucoup.
L’humain est fait pour cohabiter avec ses semblables et n’existe vraiment que dans et par la relation sans masque. Celui que nous portons en ce moment indique une anormalité qui nous atteint tous, qui que nous soyons. En un sens, il nous rend égaux face à un ennemi invisible. Paradoxalement, ce qui pourrait nous séparer nous unit davantage dans la fragilité et la vigilance.
Le masque ferait-il tomber nos masques ?